PLANETE ZEN, Planète Zen (1992)

PLANETE ZEN GROUPE

Planète Zen est un trio parisien formé en 1990. Alors que le groupe travail sur un futur album, il va être mis sous les projecteurs par Bernard Lenoir qui ne tarit pas d'éloges sur sa qualité et commence dès janvier 1992 à passer régulièrement le titre " Charlie the Spacedriver "dans son émission " C'est Lenoir " sur France Inter. 

Cette situation va un peu prendre le groupe de court. Une interview du groupe dans le magazine musical Prémonition de l'époque retrace ce début d'aventure.

Muriel Bonfils (chant), Stephan Haeri (guitare), Christophe Chiappa (basse) + un batteur occasionnel non crédité.
 

PLANETE ZEN PRESSEPLANETE ZEN BELFORT

Après un maxi single, l'album " Planète Zen " sort en mai 1992. Il est produit par leurs amis du groupe Rise and Fall of a Decade et sort sur le label Single KO.

PLANETE ZEN AVANTPLANETE ZEN DOS
PLANETE ZEN INT1PLANETE ZEN INT2
PLANETE ZEN INT3PLANETE ZEN BACK


Malgré la publicité faite par Lenoir et un passage au Eurockéennes de Belfort la même année, les ventes ne sont pas terribles et le groupe sort rapidement de la lumière. La disparition du label Single KO n'arrange pas les choses.
Il faudra attendre 1995 pour voir le groupe revenir sur le devant de la scène avec de nouveaux albums. 
La formation sera alors la suivante: Muriel Bonfils (chant), Stephan Haeri (guitare, basse) et Pascal Vaillant (batterie).
Vous pouvez retrouver deux titres de l'album " Terr " sorti en 1996 sur la compilation " Les belles promesses : collection électrique " parue sur le label XIII Bis Records.
 
Un bon album de rock aux sons de guitares bien saturées comprenant une reprise avec le titre Denis du groupe Blondie.  

Bonne écoute
Makhno
 

Commentaires

  1. Excellent album, merci Makhno. Ils me font bien penser aux Primitives de Coventry, la ville de ma première correspondante anglaise (et de The Specials aussi). On les retrouve aussi dans la trilogie des compilations "Les Belles Promesses" de XIII Bis records dans la série Electrique. Bernard Lenoir, je l'écoutais avec délectation très souvent, que de découvertes grâce à lui. Je lui dois une bonne partie de ma discothèque.

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    1. C'est pourtant vrai que tu avais mis cette compilation que je n'avais pas oubliée à l'époque pour le groupe Juniper. Je rajoute sans tarder le lien dans la chronique.

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